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Pays de Bray (Oise) : un cigogneau bagué pour la première fois !

L’opération a été organisée par le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France, en partenariat avec le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie et la commune de Saint-Pierre-ès-Champs. Depuis quelques temps les cigognes semblent élire domicile sur le secteur du Pays de Bray avec une dizaine de nids connus à ce jour.

Après un repérage de la zone, le conducteur de la nacelle a pu se positionner afin de guider au mieux l’opération. Une fois la bagueuse arrivée au sommet du nid, le cigogneau est délicatement attrapé et descendu afin d’être bagué.

Une bague métal qui correspond à sa carte d’identité et une bague couleur gravée (fond vert et lettres blanches pour la France) permettant de le suivre à distance ont été posées à ses pattes.

Afin de respecter le protocole normalisé mis en place, plusieurs mesures sont ainsi effectuées sur l’animal avant de le redéposer dans le nid : longueur du tarse, de l’aile et distance tête – bec.

Cette opération scientifique, sous contrôle du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) et du Centre de recherches sur la biologie des populations d’Oiseaux (CRBPO), permet de suivre à long terme l’évolution et le déplacement des individus.

Ces opérations sont menées dans le cadre d’un programme personnel sur la dynamique de la population, l’écologie et la conservation de la Cigogne Blanche, Ciconia ciconia, dans la région des Hauts-de-France et la Seine-Maritime mené par Christophe Hildebrand et autorisé par le MNHN de Paris.

Le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France remercie tous ses partenaires pour la réalisation de cette opération sur la Réserve naturelle nationale des larris et tourbières de Saint-Pierre-es-Champs : la commune de Saint-Pierre-es-Champs, le Muséum national d’Histoire naturelle, le Centre de recherches sur la biologie des populations d’oiseaux, le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie et Picardie nature.

Suivi de migration du Phragmite aquatique en région Hauts-de-France

Bilan 2022 du suivi de migration du Phragmite aquatique en région Hauts-de-France

Le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts de France a été désigné animateur de la déclinaison régionale du PNA en faveur du Phragmite aquatique par la DREAL des Hauts de France depuis 2010.

Dans le cadre de cette animation, différentes actions sont menées annuellement. C’est le cas notamment du suivi de la migration qui bat son plein comme chaque année au mois d’août. C’est en effet à cette période que la majorité de la population de Phragmite aquatique rejoint ses quartiers d’hivernage africains depuis ses sites de nidification en Europe de l’ouest.

L’année 2022 a été riche d’activités pour les Hauts de France. Un petit bilan s’impose…

3 stations de suivi par le baguage ont ouvert sur l’ensemble de la région :

  • La station de référence de la déclinaison régionale du PNA : le marais de Guînes (62)
  • Une station dans l’estuaire de la Somme (80)
  • La station des marais de Sacy (60)

Le suivi par le baguage permet d’évaluer l’utilisation des sites de migration par l’espèce : sont-ils fonctionnels pour l’espèce, c’est-à-dire permettent-ils au Phragmite aquatique de se reposer et de se nourrir afin de pouvoir rejoindre ses quartiers d’hivernage dans de bonnes conditions ? Ce suivi permet aussi, à plus large échelle, d’évaluer l’état des populations, les phénologies de migration et les trajets migratoires.

  • Sur le marais de Guînes (62), station gérée par Eden 62, le suivi s’est déroulé du 5 au 26 août.

Au total, 19 oiseaux capturés (pour un total de 28 actions de capture) dont 3 individus bagués à l’étranger : 2 jeunes bagués en Belgique et 1 adulte bagué sur son site de nidification en Lituanie.

Sur ces 19 individus, 3 ont pu être contrôlé 24 à 48 h après la première capture, avec, pour 2 oiseaux sur les 3, une prise de masse signifiant que ces oiseaux ont trouvé de quoi s’alimenter sur le site. Cela affirme le statut de halte migratoire du marais de Guînes.

Ce ne sont pas moins de 12 individus de Phragmite aquatique qui ont été bagués.

Ces dix jours de baguage nous permettent d’obtenir plus d’informations sur l’importance de la l’estuaire de la Somme dans le réseau des sites de migration des Hauts de France. En effet, cette station rejoint les deux stations régionales les plus fréquentées (à l’aune des connaissances actuelles) que sont le Marais de Guînes (62) et le marais audomarois (62). L’absence de données de contrôle inter journaliers pour cette année 2022 peut toutefois poser question : les oiseaux trouvent-ils de quoi s’alimenter sur le site ? ou est-ce uniquement un site de transit ?

Cependant, sur un faible nombre d’individus capturés comme c’est le cas globalement pour le Phragmite aquatique, les probabilités de contrôles sont faibles elles aussi. Ainsi, la réitération de ce suivi dans les années à venir permettrait de mieux évaluer l’utilisation du site par l’espèce.

Ci-dessous un comparatif du nombre de Phragmite aquatique bagués par jour pour 100 m de filet entre les stations de Guînes et de l’estuaire de la Somme, ainsi que l’indice ACROLA (nombre d’ACROLA capturés/ nombre d’Acrocephalus sp * 100)

Sur les marais de Sacy (60), après la capture de 2019, aucune nouvelle capture.

Recherche de nouveaux sites de présence

2 sites naturels gérés par Eden 62, considérés zones de présence potentielle, ont aussi bénéficié de recherche par le baguage : un site dans le marais audomarois et un site dans le marais de Beuvry (62). Sur la première station, un individu a été bagué et contrôlé 3 jours plus tard avec prise de masse. Les contextes relativement boisés autours de ces deux sites expliquent sans doute la faible fréquentation de ces derniers alors que les habitats présents collaient aux exigences de l’espèce.

Des captures incidentes ou des observations directes

  • A noter la capture de 2 individus adultes début août sur une station de suivi ornithologique de la vallée de la Marcq (62) ;
  • Plusieurs informations d’observations directes cette année :
    • 1 observation rapportée sur le Val Joly, dans l’Avesnois (59), ainsi que 2 observations au sein de l’estuaire de la Slack (62).
    • L’est de la région (Avesnois/ Aisne) et les estuaires des Hauts-de-France font partie des zones de présence potentielle non prospectées à l’heure actuelle.

Merci à Eden 62 et à ses bagueurs, plus mobilisés et impliqués que jamais cette année ; à Xavier Commecy et Frédéric Baroteaux de Picardie Nature ainsi qu’à Benjamin Blondel du SMBSGLP ; à Michel Datin et l’équipe de la SOMS ; aux bagueurs de Cap Ornis baguage et pour finir aux ornithologues vigilants qui ont alerté le Conservatoire sur les données d’observations directes.

Assemblée générale du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France

Ce samedi 7 mai 2022 se tenait à Calais la seconde Assemblée générale du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France. Christophe LEPINE, Président du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France, également Président de la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels, était heureux d’accueillir pour l’occasion partenaires, adhérents et salariés de l’association. Il a présenté son Rapport moral avant de laisser la parole aux élus venus témoigner de leurs soutiens aux actions du Conservatoire.

Ouverture de l’Assemblée générale par Christophe Lépine, Président du Conservatoire
L’Assemblée générale a réuni cette année près de 300 personnes.

De nombreux élus se sont succédé à la tribune au côté de Christophe Lépine pour réaffirmer leur soutien aux actions portées par le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France :

Isabelle Muys, Maire de Coulogne, Vice-Présidente de l’Agglomération Grand Calais Terres et Mers
Emmanuelle Leveugle, Conseillère départementale du Pas-de-Calais, Présidente d’Eden 62
Jean-Michel Taccoen, Conseiller régional délégué à l’eau et à la forêt
André Flajolet, Président du Comité de Bassin de l’Agence de l’Eau Artois-Picardie
Pierre-Henri Dumont, Député du Pas-de-Calais

Des membres de l’équipe permanente ont ensuite présenté une synthèse du Rapport d’activités 2021 articulée autour des 5 grand piliers du Conservatoire d’espaces naturels : « connaître », « protéger », « gérer », « valoriser » et « accompagner ».

Quelques données à retenir ?
Au 31/12/2021, 512 sites contractualisés par le Conservatoire pour 17 670 ha :

- en gestion directe : 426 sites pour 15 763 ha ;
- en assistance à la gestion : 86 sites pour 1 907 ha.
Carte des sites contractualisés par le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France en 2021, par type de milieu.

Voici l’évolution du réseau de sites pour 2021 :

Carte des acquisitions, extensions et renforcements 2021

Les adhérents ont ensuite été invités à voter le Rapport d’activités 2021 ainsi que le Rapport financier.

Vote du Rapport d’activités 2021 par les adhérents de l’association.

Vint ensuite le temps de la remise du Prix du bénévole, attribué cette année à Guy Flohart (Conservateur bénévole de la RNR des bassins du Pont d’Ardres).

Guy Flohart reçoit le Prix du bénévole pour son investissement au sein du Conservatoire

Enfin, les participants à l’AG ont assisté à une table ronde ayant pour thème : « Les partenariats agricoles du Conservatoire : de l’outil de gestion au bénéfice mutuel« . Plusieurs intervenants ont été conviés pour l’occasion : Benoît Vanbremeersch, agriculteur bio à Renescure, Gonzague Calais, agriculteur à Audinghen, Sophie Grassien, conseillère biodiversité à la Chambre d’agriculture, Jérôme Muselet, agriculteur à Vieil-Moutier, représentant de la Safer, Luc Barbier, Vice-Président du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France.

Table ronde sur les partenariats agricoles du Conservatoire d’espaces naturels

Cette année encore, les maitres-mots de la journée étaient la convivialité et le partage.

Phragmite aquatique : dix grammes voyageant de l’Europe de l’est à l’Afrique

Phragmite aquatique © L. ROUSSEAUX

Le Phragmite aquatique est un petit passereau qui niche dans les tourbières des pays de l’est européens. C’est actuellement l’espèce de passereau continental la plus menacée d’Europe. Une grande majorité de sa population traverse la France lors de sa migration, principalement via la façade atlantique, pour aller passer l’hiver en Afrique. La France a donc la responsabilité de lui fournir des zones de halte de qualité qui lui permettent de se nourrir et de se reposer.

Tous les ans, en août, les ornithologues de la région se mobilisent dans le cadre d’un Plan national d’Actions, pour la recherche de sites de halte migratoire et le suivi de l’espèce. L’objectif : identifier les trajets migratoires et les sites d’importance pour les haltes ainsi que le suivi des effectifs et la phénologie de passage de l’espèce.

Le Phragmite aquatique est une espèce très discrète qu’il est pratiquement impossible d’observer en dehors de la capture au filet. Cette méthode d’étude permet d’équiper chaque oiseau d’une bague unique. Cela permet alors de retracer leurs déplacements lorsqu’ils sont à nouveau capturés sur d’autres sites. Des mesures biométriques sont aussi réalisées, comme la taille de l’aile, l’adiposité (les réserves de graisses qui leur permet d’effectuer leur long voyage), la masse mais aussi leur âge. L’âge ratio (nombre de juvénile par rapport au nombre d’adultes) permet d’évaluer le succès de la reproduction.

Marais de Guînes (62) © L. ROUSSEAUX

Cet effort de capture s’inscrit à une échelle mondiale. Le marais de Guînes, géré par Eden 62, est le site de référence pour le suivi de l’espèce au niveau des Hauts-de-France. Cette année, comme chaque mois d’août depuis 2011, les bagueurs d’Eden 62 effectuent donc le baguage des individus de Phragmite aquatique interceptés sur le site. Le Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France, animant au niveau régional le Plan National d’Actions en faveur du Phragmite aquatique, est allé leur rendre visite et a eu la chance de pouvoir observer de près cette petite boule de plumes.

Opération de baguage du Phragmite aquatique sur le Marais de Guînes (62) © L. ROUSSEAUX

D’autres acteurs de la préservation de la biodiversité en région Hauts-de-France sont impliqués dans ce programme, citons tout particulièrement Cap ornis baguage, co-animateur de cette déclinaison, le Parc naturel régional Caps et Marais d’Opale, le Parc naturel régional Scarpe-Escaut et Picardie Nature qui participent régulièrement à la recherche et au suivi de l’espèce en région.

Cet oiseau, qui ne pèse qu’une dizaine de grammes, reliera l’Europe de l’est à l’Afrique de l’ouest en seulement quelques jours avec très peu de pauses. Souhaitons leur bonne route !

Voici une comparaison entre le Phragmite aquatique (3 bandes sur la tête) et le Phragmite des joncs (deux bandes sur la tête).

Vous pouvez retrouver le suivi de la migration du Phragmite aquatique et toutes les informations sur l’espèce sur le site internet de Bretagne vivante : https://www.bretagne-vivante.org/France/Le-Plan-National-d-Actions-en-faveur-du-Phragmite-aquatique/Suivre-la-migration-du-Phragmite-en-France

Visite de la Secrétaire d’État à la Biodiversité sur un site du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France

Bérangère Abba, Secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée de la Biodiversité, en visite sur la Tourbière de Marchiennes (propriété du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France et du Département du Nord).

Le réseau des Conservatoires d’espaces naturels est mis à l’honneur à l’occasion de la Journée mondiale des zones humides. Continuer la lecture de Visite de la Secrétaire d’État à la Biodiversité sur un site du Conservatoire d’espaces naturels des Hauts-de-France

Opération de baguage de cigogneaux sur la RNR des Prairies du val de Sambre

Le 5 juin dernier sur la Réserve naturelle régionale des Prairies du Val de Sambre à Maroilles, gérée par le Conservatoire d’espaces naturels en partenariat avec la Région Hauts-de-France, s’est déroulée une opération de baguage des cigogneaux nés au printemps sur le site.

Le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN), via son expert Christophe HILDEBRAND, est intervenu en hâte en raison de l’envol imminent des jeunes ; ceci en partenariat avec Enedis pour la mise à disposition d’une nacelle.

Le Conservatoire d’espaces naturels remercie tous ces acteurs pour leur bénévolat. Deux cigogneaux en pleine santé ont ainsi reçu leur carte d’identité, avant de partir vivre leurs aventures en de nouvelles contrées.  Nous ne manquerons pas de suivre leurs parcours respectifs au fil des années… Continuer la lecture de Opération de baguage de cigogneaux sur la RNR des Prairies du val de Sambre

Lancement d’un indicateur d’évaluation des potentialités biologiques des mares à travers l’étude des coléoptères aquatiques : l’IcoCAM

Mare prospectée dans le cadre de l’étude IcoCAM © B. Hubert

L’évaluation de l’intérêt écologique des mares et de leur état de conservation sont des problématiques récurrentes auxquelles sont confrontées les gestionnaires. Ces évaluations se basent le plus souvent sur l’étude des amphibiens, des plantes ou des libellules. Bien qu’importants à considérer, ces groupes taxonomiques ne sont pas toujours les plus pertinents pour évaluer le bon état ou le bon potentiel écologique des mares. Les coléoptères aquatiques offrent quant à eux une diversité d’espèces particulièrement importante dans ces milieux et réunissent les principaux critères définissants les taxons indicateurs. Continuer la lecture de Lancement d’un indicateur d’évaluation des potentialités biologiques des mares à travers l’étude des coléoptères aquatiques : l’IcoCAM

Restauration des tourbières alcalines de notre territoire : réunion technique sur le Marais de Villiers dans le cadre du programme européen LIFE Antropofens

Définition d’un programme ambitieux de restauration des tourbières basses alcalines présentes sur notre territoire : réunion technique sur le Marais de Villiers (62).

Dans le cadre du programme LIFE Antropofens, une réunion de terrain a été programmée sur les tourbières de Roussent et Villiers avec les services de la Direction Départementale des Territoires et de la Mer (DDTM) du Pas-de-Calais. L’objectif a été de présenter les travaux écologiques prévus pour les 5 prochaines années et de définir les démarches réglementaires à effectuer en conséquence. Cela représente une première étape indispensable pour la mise en place de ce programme ambitieux de restauration des tourbières basses alcalines gérées par le Conservatoire d’espaces naturels.

Marais de Rousent (62) géré par le Conservatoire d’espaces naturels (© M. Drouglazet)

Marais de Roussent (62) géré par le Conservatoire d’espaces naturels (© M. Drouglazet)

En savoir plus : Qu’est-ce que le Programme européen de financement LIFE ?

Signature d’un partenariat pour la gestion et la valorisation des espaces naturels du SIDEN-SIAN et de sa régie Noréade (59)

Signature d’une convention de partenariat entre Noréade (régie du SIDEN-SIAN) et le Conservatoire d’espaces naturels du Nord et du Pas-de-Calais, le 18 février 2020 à Herzeele (59), avec de gauche à droite :
M. Régis Laporte, Maire d’Herzeele
M. Paul Raoult, Président du SIDEN-SIAN
M. Luc Barbier, Président du Conservatoire d’espaces naturels
Mme. Valérie Vanhersel-Laporte, Conseillère régionale des Hauts de France.

Ce mardi 18 février 2020, Monsieur Paul Raoult, Président du SIDEN-SIAN et Monsieur Luc Barbier, Président du Conservatoire d’espaces naturels du Nord et du Pas-de-Calais, association spécialisée dans la protection pérenne des espaces naturels de la région, ont signé une convention de partenariat en faveur de la valorisation des espaces naturels. Une signature qui marque un nouveau pas pour la régie Noréade dans son implication dans le « grand cycle de l’eau ». Objectif : gérer et valoriser les espaces naturels du SIDEN-SIAN tout en communiquant et sensibilisant les publics aux enjeux de préservation de la ressource en eau et des zones humides. Continuer la lecture de Signature d’un partenariat pour la gestion et la valorisation des espaces naturels du SIDEN-SIAN et de sa régie Noréade (59)

Précieux soutiens pour un projet pédagogique novateur : l’Aire naturelle de Cambrin

Notre projet pédagogique « Aire naturelle de Cambrin » est soutenu par la Fondation Nature & Découverte.

Le comité de sélection de la Fondation Nature & Découverte, réuni pour l’appel à projet « Coup de main » (édition estivale 2019) a retenu le programme présenté par les Conservatoires d’espaces naturels des Hauts-de-France intitulé « Aire naturelle de Cambrin : quand les enfants deviennent gestionnaires d’un patrimoine naturel communal » ; le subventionnant ainsi à hauteur de 3000 €. Continuer la lecture de Précieux soutiens pour un projet pédagogique novateur : l’Aire naturelle de Cambrin